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Analyse Technique

Les arbres montent-ils au ciel, techniquement il parait peu probable de poursuivre ce trend haussier sans correction préalable. Un bon socle pour une belle statue nécessite des paliers de décompression. L'expérience montre que les premiers jours de mois sont propices à l'arrivée de flux Cash non-résident. Nous pourrions interpréter cette hausse par cette raison et non par les incessantes rumeurs, rares un mercredi, pour justifier cette progression occupant les opérateurs. Le danger semble réel. L'Iran représente aujourd'hui une menace pour les énergies fossiles et les marchés par ricochet.  

Deux cent quatre vingt points de hausse sur le CAC devrait toutefois inciter aux prises de bénéfices à la veille du week-end ce vendredi ou plus tôt dès demain lorsque les opérateurs impuissants chercheront les prises de profits. J'attends la confirmation des corrections sur les trois indices US aujourd'hui essoufflés. 

CAC index : Prévision de clôture sur 4920 après avoir atteint un plus haut à l'instant de 4950 en séance poussé par la nouvelle propre au titre ARCELOR et malgré un PIB moyen aux US. Cette clôture plus basse que le niveau de l'indice actuellement permettrait de concrétiser un Dojï annonciateur d'une consolidation la semaine prochaine.

Les arbres ne montent pas au ciel et l'OPA hostilesur ARCELOR  pourrait engendrer des prises de profits avec les annonces gouvernementales classiques de défense du patrimoine national. Il sera difficile de poursuivre ce mouvement haussier sans souffler sur notre indice tiré par la surpondération technique du titre TOTAL, lui-même  galvanisé par le rebond du pétrole de 65.30$ hier à 68.00$ .

Le CAC fort des 225 points gagnés depuis lundi matin devrait rapidement revenir combler son gap laissé entre 4907 et 4876. Les indices US ainsi que l'indice européen sont proches de résistances avec 10 910 sur le DOW Jones, 2316 sur le Nasdaq, 1292 sur le S&P 500 et 3700 sur l'Eurostoxx.

L'Euro contre dollar effectue une figure baissière en 'shooting star' confortant son scénario de retournement après sept figures de hausse de 1.1640 mi-novembre à 1.2321 lundi dernier.

  J'ai lu cette esquisse littéraire non signée écrite par un tiers publiée sur le site financier de BOURSORAMA             (janvier 2006) :

Philippe Cahen, vite !!!!!!!!

L’affaire avait commencé le 11 Octobre dernier en ces termes : « ClickOptions vous invite à découvrir l'innovation la plus stimulante en analyse technique depuis des années. ». Bigre ! On nous conviait, en exclusivité, à rencontrer un des analystes français les plus expérimentés, qui nous exposerait son approche novatrice fondée sur les analyses cylindriques. Il n’était que de se précipiter pour entendre l’oracle, d’autant nous assurait-on que les places étaient limitées. Un discours marketing comme je les aime !

L’aristocratie financière …

Le virtuose en question, spécialiste en acrobaties géométriques, eût pu s’appeler Pierre Dupont ou Roger Dumas … eh bien non ! il s’appelait – et s’appelle toujours grâce au ciel qui lui pardonnera tout – Louis-Serge Real del Sarte. Il aurait pu être maître assistant à l’IUT de Bourges ou chercheur à Caen … eh bien non ! il était orateur au Massachusetts Institute of Technology (MIT), véritable pépinière de Nobel, gardien du temple de l’orthodoxie économique et financière, américaine donc mondiale, suprême ornement d’un cursus universitaire qui garantit les lambris des plus hautes institutions internationales, le marbre des meilleurs établissements financiers, les dorures des banques centrales. Pour ce monsieur-là, plus modestement, Partner de Global Equities et Vice-Président de l’Association Française des Analystes Techniques (AFATE). Pas moins, et ce qui suffit à nous le faire aimer ! En d’autres temps, cela lui eût sûrement valu un titre de Surintendant des Finances et la confiance du monarque, telle celle que Louis XIV voua à Nicolas Fouquet, avant de le serrer en geôle jusqu’à la fin de ses jours. L’élitisme et la méritocratie en action, quel meilleur exemple ! Or donc, cette pointure se proposait de nous conter par le menu sa propre théorie « dont il est aujourd’hui le spécialiste européen », forgée sur les bases de Gann et d’Elliott, répondant au doux nom d’approche cylindrique … C’est peu dire combien je faillis m’étouffer ! Car en vérité, peu m’importait que cette théorie fût cylindrique ou tout autant sphérique, cubique, ovoïde, parallélépipédique, rotative … la seule chose qui pouvait valoir était qu’elle fût novatrice et recevable, ce qui ne pouvait l’être à peine l’énoncé achevé.

Pour ceux qui auraient la mémoire courte, singeant John Galbraith qui stigmatisait l’extraordinaire brièveté de la mémoire financière, je crois bon de devoir rappeler deux ou trois choses. Ralph Nelson Elliott, estimable comptable du Middle West, conçut dans les années 1930 une méthodologie nouvelle d’analyse chartiste, fondée sur la psychologie des investisseurs qui selon lui évoluait par tranches successives d’optimisme et de pessimisme. Ces vagues éponymes, bien connues aujourd’hui, semblaient se répéter sur le marché, à différentes échelles de temps. Un œil aguerri les aurait perçu aisément pour peu que la psychologie du chartiste ne comptât pas davantage que le résultat qu’il voulait y voir et celui que la réalité produirait réellement. Ce grand observateur n’aurait pu voir que des creux et des bosses, il fallut qu’il y vît des cycles ! L’Analyse Technique était née et avec elle cette inextinguible propension, fausse et trompeuse, à prendre appui sur le passé pour induire le futur …

« Les structures sont le miroir aux alouettes des marchés financiers. La puissance du hasard suffit à créer des structures fantômes et des pseudos-cycles, qui, aux yeux de tout le monde, apparaissent prévisibles et utilisables. Mais un marché financier est particulièrement sujet à ce genre de mirages statistiques. Ils sont la conséquence inévitable du besoin de l’homme a trouver des formes là où il n’y en a pas ». Benoît Mandelbrot ... à qui Louis-Serge Real del Sarte ne contestera jamais la place au paradis des mathématiciens. Tant mieux. C’est donc peu dire que je m’empressai de ne pas me rendre à ce meeting de première importance. Et, dans un ultime sursaut de perfidie, j’avais osé blasphémé sur le forum Boursorama, en indiquant que je considèrerais l’analyse cylindrique dès lors que son auteur la doterait … d’une injection latérale basse avec pistons subvalvés et bras tangentiels ! Pfff !

Philippe Cahen …

L’affaire a continué le 20 décembre dernier en ces termes : « Nous vous invitons à découvrir l'ATDMF avec Philippe Cahen, lundi 9 janvier à Paris. L'ATDMF (analyse technique dynamique des marchés) vise à anticiper et exploiter la formation d'informations exceptionnelles sur la volatilité et les indicateurs techniques pour prendre position. Appelez vite le 01 46 91 24 80 pour réserver votre place ! » . Bigre ! On nous conviait ….. de se précipiter … pour entendre l’oracle, d’autant nous assurait-on … que les places étaient limitées. Un discours marketing comme je les aime ! En clair, on ne prend pas les mêmes mais on recommence !

Curieux, j’avais acheté en son temps le premier ouvrage de Philippe Cahen sur l’ATDMF. Couleur de couverture, rouge. J’en avais pénétré les 194 pages, avec la délectation d’un Henri III, roi de France et des mignons ... Prix 31€, ce qui, au tarif de « La Grande Désillusion » de Joseph Stiglitz, prix Nobel d’Economie, que j’acquis récemment au prix de 4,76€, nous renseigne hautement sur la profondeur de pensée de Philippe Cahen. Lequel s’aperçut assez vite qu’il n’avait pas tout dit dans cette édition-là, qu’il convenait qu’il y palliât de toute urgence en présentant un deuxième opus. Prix 49€ ! Forte augmentation de prix, mais compréhension immédiate du pourquoi du comment : sa couverture est bleue ! En attendant une troisième version, jaune, verte peut-être, qu’il présentera, qui le sait, ce prochain 9 janvier, faisant l’honneur d’un autographe et d’une remise à son acheteur. Les exemplaires disponibles, évidemment, pourraient être limités ! J’ai déjà dit, ici et ailleurs, que les vendeurs de méthode gagnaient davantage à les vendre qu’à les mettre eux-mêmes en application !

Les choux gras de Philippe Cahen ont à voir avec la volatilité. Pour ceux qui l’ignoreraient encore, la volatilité c’est en quelque sorte l’excitation dont sont saisis les marchés. L’excitation entraîne l’excitation. Jusqu’à l’orgasme comme chacun sait. Puis le calme revient. Nous, les hommes, initiés parmi les initiés qui savons « shorter la volatilité » deux secondes avant le jet, sommes riches : deux secondes après, la volatilité retombe, et peu de temps après encore, son support. Nous pouvons donc nous racheter moins cher ! Ainsi la volatilité a-t-elle avoir avec la psychologie, et la libido. Et nous savons depuis longtemps que tous les opérateurs deviennent irrationnels dès que l’on introduit de l’aléa dans leur commerce. De la psychologie, de l’excitation, bref, des hommes et des femmes, pas des courbes ni des chiffres.

Parlons technique deux minutes. Pas davantage. L’orthodoxie financière moderne conjecture depuis un siècle et les travaux de Louis Bachelier (« Théorie de la Spéculation », thèse de doctorat soutenue en Mars 1900 devant notamment l’illustre Henri Poincaré) que les variations des cours boursiers évoluent dans le cadre d’une loi normale. Carl Friedrich Gauss, flamboyant mathématicien suisse, est le géniteur de cette distribution de probabilités dont la courbe est fameuse qui ressemble à une cloche renversée : deux écarts-type de part et d’autre de la courbe et voilà 95% des occurrences dans l’intervalle. John Bollinger en a fait ses choux gras avec ses bandes éponymes – un type formidable ce Bollinger, riche sûrement d’avoir vendu ses « Bande de Bollinger » au prix syndical de 35,15€, soit 8 fois le prix du Nobel Stiglitz -. Revisités 50 ans plus tard, les travaux de Louis Bachelier donneront naissance à la théorie moderne, complexe et complète, toujours enseignée aux quatre coins de la planète. La confiance accordée par les investisseurs à ce modèle ne saurait cependant justifier sa robustesse, et, comme tout dogme, il est bien plus honoré dans les discours que dans les faits. Car voilà, les fondations sont celles d’un château de sable et quand bien même tente-t-on incessamment de les replâtrer, l’édifice s’effondrera … L’édifice s’effondre.

Benoît Gérardin (Ingénieur de l'Ecole Polytechnique de Paris) "a montré qu'en réalité ce sont 86% des cours – ndlr et non 95% - qui se situent à l'intérieur des bandes de Bollinger (note 31, page 72 de "Comprendre l'Analyse Technique Dynamique" de Philippe Cahen, livre rouge Editions Economica 2002. Ce qui n'empêche l'auteur d'écrire, même page, paragraphe 2.2.1 : "Les trois courbes sont : une moyenne mobile sur 20 périodes - appelée moyenne mobile de Bollinger – (on notera ici qu’une moyenne mobile à 19 ou 21 jours ne serait pas adéquate, qui fausserait cette belle mécanique !!! ndlr), une courbe appelée bande supérieure de Bollinger équivalente à la moyenne mobile de Bollinger + deux fois un écart-type, et la troisième courbe appelée bande de Bollinger, équivalente à la moyenne mobile de Bollinger - deux fois un écart-type. Les lois de la statistique indiquent que, historiquement (c'est-à-dire si on analysait un historique très long), on observerait que 95% des cours se situent entre la bande inférieure et la bande supérieure (renvoi à la note 31 ci-dessus susvisée)". Et en optimum de second rang, Monsieur Cahen, la couleur du papier Lotus !!! Suit sans vergogne la production d’une fumeuse théorie ATDMF fondée sur une hypothèse énoncée fausse dans le même instant ! Pfff !

Ledit Philippe Cahen n’est d’ailleurs pas en reste qui prétend (note 20, page 41 de "Comprendre l'Analyse Technique Dynamique" de Philippe Cahen, livre rouge Editions Economica 2002) : « Il est désolant de voir encore des analystes utiliser un indicateur comme le RSI alors que des indicateurs similaires mais beaucoup plus fiables sont disponibles. Ne serait-ce que dans ce cas, nous estimons que tout analyste faisant référence ou incluant l’utilisation de cet indicateur dans ses analyses ne peut actuellement pas être pris au sérieux. »

Quant à moi, j’estime que, de tous ces analystes qui ne peuvent être pris au sérieux, Philippe Cahen est le premier. « Oracle, expert, gourou, économiste ou bien médium ou vaudou, il n’y a pas de différence. Les deux sont dans la s orcellerie : le s orcier est un peu plus honnête, on le repère facilement, avec son slip en peau de léopard et son bâton orné de plumes. » (Bernard Maris, vous aimez ?)

Wassily au secours !

Finance calculatoire intensive, algorithmes génétiques, réseaux neuronaux, économisme comportemental, recherche des stimuli biologiques décisionnels, le silicium cité à comparaître pour supplanter la biologie du cerveau humain, démuni, débordé, incapable d’avancer plus outre, anesthésié. Mille milliards de dollars ! Rien n’a été négligé … Saviez-vous que l’industrie financière est le plus gros client de l’industrie informatique ? Et Wassily Leontieff – Prix Nobel d’Economie 1973 – de conclure en point d’orgue … « Hors la finance, il n’existe pas de domaine de recherche empirique où une machinerie statistique si massive et si sophistiquée ait été employée pour des résultats aussi médiocres ». Snif … Peu goûteux de cette omnipotence mathématique qui consacre des modèles théoriques complexes tout aussi vite qu’elle les détrône, non parce qu’ils sont meilleurs mais parce qu’ils sont nouveaux, ce bon Wassily raillera : « Si vous ne trouvez pas à votre goût ma série d'hypothèses, donnez-m'en une autre et je vous ferai volontiers un autre modèle. Faites votre choix. » Aux dernières nouvelles, Myron Scholes et Robert Merton, ridiculisés au dernier degré dans la faillite retentissante de LTCM, et avec eux leur formule magique, ne s’étaient toujours pas repentis.

La puissance du hasard

L’Analyse Technique est un effet de mode, décuplé par les techniques communicantes du Net, tout au plus un ensemble de recettes de cuisine, sauf à ce que l’astrologie accède au rang de vérité scientifique. Une théorie ne connaît pas d’accidents de parcours ni d’aberrations probabilistes, dans le court terme, le moyen terme ou le long terme. Une théorie est juste ou fausse. Une théorie rend compte de la réalité ou n’en rend pas compte. Toute théorie cosmologique qui qualifierait Jupiter d’accident de parcours ferait rire toute une communauté, chevaux compris, et renverrait son auteur, honteux, à ses chères études. Il semble qu’en finance, ce ne soit pas le cas. Toujours ces milliards de dollars qui stérilisent toute initiative novatrice et conduisent la communauté à tourner en rond !

Depuis 20 ans que je m’échine sur la chose, j’ai tout tenté, tout essayé, tout contrôlé grâce à mes propres programmes d’ordinateur. Dernière en date, la méthode des Chandeliers Japonais. J’ai acheté la bible de Steve Nison et la vulgarisation – très bien faite d’ailleurs – de François Baron. Sauf la clarté de la représentation, la vérité est têtue … la méthode ne vaut pas mieux que la méthode du singe aux yeux bandés. Les meilleures figures – avalements haussiers et baissiers – ne produisent le résultat attendu en 5 jours que dans 30% des cas, aussi bien que ne le ferait le pur hasard (je monte, je baisse, je stagne, hasardeusement 30% que l’une des occurrences se produise). Les meilleurs résultats – 80% de réussite – ne se produisent que sur des figures que l’on voit si peu que leur significativité est en cause. Or donc, je prétends ici publiquement que ce malstrom ne vaut que par l’argent qu’il rapporte à ces auteurs, éditeurs et autres affairistes.

L’analyse technique livre son verdict chaque jour qui passe. Le verra-t-on, le considèrera-t-on ou, comme tout bon turfiste, faudra-t-il que nous ne nous souvenions que de nos succès et non de nos échecs. DBD, chantre de l’Analyse Technique, est au tas dans ses résultats : une théorie qui produit çà est bonne à jeter aux cochons. Ce qui est fait … mais les cochons c’est nous et nous en usons jusqu’à plus soif !

Ne m’en voulez pas !

Je vois les tentatives des uns et des autres pour trouver des indicateurs magiques de prise de position et de dénouement. A chacun ses stratégies, s’appuyant qui sur le RSI, MACD, divergences, stochastique, parabolique, accumulation de Williams, qui sur les bandes de Bollinger, moyennes arithmétiques, mobiles, exponentielles … on cherche des seuils, des courbes qui se croisent. On trouve des choses qui marchent un jour, mal le lendemain … Le Graal de l’Analyse Fondamentale est le même que celui de l’Analyse Technique. C’est une chimère …

On trouve toujours une courbe ad hoc pour expliquer tout phénomène. L’importance qu’on lui accorde vaut davantage par l’idée que l’on s’en fait plutôt que par ce qu’elle représente vraiment.

Bien à vous.

Indicateur complémentaire de Volatilité du Marché Américain : le VIX
Le VIX est un indice de Volatilité calculé quotidiennement par le CBOE (Chicago Board Options Exchanges).


Le Vix reflète la Nervosité des Marchés Financiers. Globalement, quand il est bas, les marchés sont peu nerveux et l'optimisme est de rigueur. A l'inverse, quand il est haut les marchés sont plus nerveux et pessimistes...

"The VIX (CBOE Volatility Index) is a measurement used to depict fear and optimism in S&P 100 Index options trading. When many traders become fearful, the VIX typically rises, and when complacency about the market dominates, the VIX falls."

En Septembre 2003, le mode de calcul du VIX a été changé par le CBOE et ce, pour avoir un indicateur plus représentatif. Ainsi, le VIX est maintenant basé sur les prix des options (Warrants Calls & Puts) sur l'index de S&P 500 (SPX), alors qu'auparavant le calcul était fait sur les options sur indice de S&P100 (OEX).

Le VIX est notamment calculé en faisant la moyenne des volatilités sur les Call et Put sur l'Indice de S&P 500. Il est difficile de donner un sens à la valeur du VIX. Il est plus pertinent d'utiliser la direction que prend le VIX.

Ces dernières années, avec les evenements de 2001 et la crise des marchés financiers, la volatilité et la nervosité ont été très élevé. Depuis les plus bas de 2002/2003, le VIX n'a pas cessé de chuter et atteint maintenant des niveaux équivalents à 1993-1995. Ces niveaux n'ont que peu d'importance... En fait, si le VIX venait à rebondir fortement (par rapport à la tendance de ces derniers mois), on pourrait l'interpréter comme un changement dans la perception globale du Marché.

Un VIX elevé dans un marché calme indiquerait une inquiétude grandissante et donc un décrochage à venir. Si cela s'est vérifié, ce n'est pas une règle. Un VIX bas dans un marché calme indiquerait une certaine confiance, un certain optimisme et donc un mouvement haussier d'ampleur à venir

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