Loïc Le Meur
150 000 visiteurs uniques par mois
Loïc Le Meur est un « serial entrepreneur » français de 33 ans, l'excellence de son profil HEC maîtrisant l'outil internet en fait le leader de la blogosphère, son blog relaté dans le dernier 'Challenge' (à lire) ,
Son blog loiclemeur.com/france est l'un des plus visités de France, recevant plus de 150 000 visiteurs uniques par mois. Loïc Le Meur est aussi un podcasteur. Directeur Général Europe de Six Apart, le leader mondial des logiciels de weblogs qui héberge plus de 12 millions de blogs dans le monde.
Avant de rejoindre Six Apart Europe, Loïc a créé et dirigé plusieurs entreprises en France, comme l'entreprise U-blog SA, une des première entreprise de blogs en Europe en 2003, Tekora, un logiciel de création de sites web pour les PME, RapidSite France, un des premiers hébergeurs de sites qui a été cédé à France Telecom en 1999 et de B2L, une des grandes agences interactives, cédée au groupe BBDO.
Président du Jury Interactive du Festival de Cannes de la publicité en 1999, Loïc Le Meur a aussi été sélectionné comme "Young Global Leader" par le World Economic Forum en 2002 et participe au Forum de Davos depuis plusieurs années. Son podcast est écouté ou vu par environ 30 000 personnes et il a podcasté des personnalités comme Nicolas Sarkozy, Richard Branson .Loïc est Président du Comité BVQI (certification de la Qualité des sites internet). Membre de l'Electronic Business Group. Membre du Comité Directeur de Croissance Plus sous l'égide de Geoffroy Roux de Bézieux et le l'exquise Edith Henrion d'Aubert. Waterloo Golf Club.
Blog
http://www.loiclemeur.com
Six Apart SA
48, rue de la Bienfaisance
esc B - 6e étage
75008 Paris
France
email loic (at) sixapart.com
aim loicolemeur
skype loiclemeur
Bio longue
Entrepreneur
Intervenant et agitateur
Formation et situation personnelle
Quelques blogs qui me présentent
Un portrait en audio (mp3) par la radio BFM
Quelques articles de presse en ligne (en anglais)
"Vive les Blogs", by Robert Andrews, Wired News, 2005
"At the Davos Conference, Small Fry With Big Dreams", by Erik Portanger, Wall Street Journal, 2004.
"With bloggers inside, Davos secrets are out", by Thomas Crampton, International Herald Tribune, 2004.
"Le Meur is a young man in a hurry who walks fast, talks fast, and starts businesses fast" in "The next French Revolution", by Cait Murphy, CNN, 2000.
photos en basse et haute définition
Quelques présentations:
Les blogs en entreprise (pdf)
Née le 27 mars 1951 à Paris 8 et Mère de 2 enfants : Justine, Augustin Augier
Vice-présidente du mouvement des Jeunes Giscardiens (1974-77), Conseillère au cabinet de Paul Dijoud (secrétaire d'Etat auprès du ministre du Travail, chargé des Travailleurs immigrés) (1977-78), Chargée de mission au cabinet de Jean-Claude Gaudin (président du groupe de l'Union pour la démocratie française [UDF] à l'Assemblée nationale) (1986-88), Secrétaire générale des Etats généraux de l'opposition (1989-93), Conseillère chargée des relations avec le Parlement et les élus (1993-95) au cabinet de François Bayrou (ministre de l'Education nationale), Conseillère auprès de François Bayrou (ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Insertion professionnelle) (1995-97), Directrice du cabinet (1997) de François Bayrou (ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche), Secrétaire générale du groupe UDF à l'Assemblée nationale (1997-98), élue le 13 juin 1999 au Parlement européen (liste Avec l'Europe prenons une France d'avance), réélue le 13 juin 2004 (liste UDF-Europe), Présidente de la délégation UDF et Vice-présidente du groupe Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe au Parlement européen, Conseillère de Paris (depuis 2001); à l'UDF : Déléguée à l'animation (1978-92), Secrétaire générale adjointe (1992-96), Déléguée nationale (1996-2002), Secrétaire nationale (2002), Vice-présidente exécutive de l'UDF (depuis 2005), Présidente de la Fédération UDF de Paris (depuis 2006); Secrétaire générale du Parti démocrate européen (depuis 2004).
Réussir son entretien
Par Isabelle Buot-Bouttier, Coach diplômée / Université Paris VIII.
Un entretien de recrutement est toujours un instant stressant pour le candidat fortement animé par les enjeux de cette rencontre. Un contexte dans lequel il peut difficilement présenter le meilleur de lui-même face aux recruteurs. Il est également vrai que si certains candidats sont d'excellents professionnels dans leur domaine, ils ne sont pas nécessairement aussi à l'aise dans la communication. Or, le savoir être, l'aisance relationnelle et la force de persuasion du candidat sont autant d'éléments qui joueront nécessairement un rôle non négligeable dans cet échange. La bonne nouvelle est que cette "attitude d'aisance" peut s'acquérir, le tout n'étant qu'une question de préparation et d'entraînement.
La préparation à un entretien de recrutement repose à la fois sur le fond, la forme et l'objectif à atteindre. Nous sommes proches ici des techniques du marketing, la question étant simplement de savoir se vendre. Réussir un entretien professionnel, c'est être à l'écoute, anticiper, développer, convaincre, persuader et se démarquer.
En un mot, séduire son auditoire.
Pour atteindre cet objectif de gagnant, plusieurs points sont à travailler. Le premier est la connaissance de l'interlocuteur, le recruteur lui-même (recruteur direct), mais aussi son environnement. Il s'agit d'analyser l'entreprise et son secteur d'activité. Leurs codes, leurs systèmes de représentation, de valeurs, leur philosophie, leurs objectifs ainsi que la sémantique (le vocabulaire utilisé) sont les éléments à prendre en compte. Une étape qui ne sera pas difficile pour le candidat qui connaît bien son secteur d'activité. Des informations recueillies sur Internet, à la chambre du commerce ou sur des revues spécialisées lui permettront de compléter son étude, notamment en ce qui concerne l'entreprise concernée.
Le deuxième point concerne l'attitude générale du candidat. Elle doit s'inscrire dans l'amplitude et la souplesse. Le corps doit être dans une attitude d'ouverture. N'oublions pas que la communication non verbale a plus d'impact dans l'interaction que les mots énoncés. Le regard sera franc, tourné vers celui de son interlocuteur (le fameux "regarde moi dans les yeux"), la voix sera à la fois posée et assurée. Il est également important que le corps puisse s'exprimer dans la même mesure que la parole. Ne pas hésiter, donc, à appuyer ses propos avec des gestes de la main. Il arrive parfois que le corps exprime l'inverse de la parole. Dire que l'on se sent bien en croisant les bras, les jambes, en rentrant le menton et en fronçant les sourcils est bien sur une caricature mais elle ne manque pas d'illustrer le propos. Pour ce qui est de l'expression verbale, les mots ont bien entendu aussi leur importance. Les phrases courtes et les mots simples sont les plus percutants. Certains sont toutefois à éviter, il s'agit de ceux qui évoquent des images négatives, comme le mot "problème". Dans la même idée, les phrases négatives, péjoratives et dévalorisantes sont à proscrire.
Eviter donc les énoncés tels que "je n'ai travaillé que x années dans cette société, je n'ai effectué que cette tâche". Toute expérience, même les plus courtes et les plus difficiles sont à présenter de manière positive, en évitant toutefois l'écueil du mensonge ou de l'enjolivement. Le risque est en effet de se faire piéger à un moment ou un autre du recrutement. Sans oublier que les Cabinets de recrutement vérifient quasiment systématiquement toutes vos références. La simplicité, l'ouverture d'esprit, la franchise et l'assurance sont donc les maîtres mots. Des mots ponctués parfois de quelques silences pour leur donner un peu plus de force, tandis que le corps et le regard continueront à être présents dans la relation de manière active. Quant aux fameuses questions tant redoutées, une visite des forums et sites spécialisés sur Internet vous permettront de vous préparer aux plus classiques. N'oubliez pas que certaines questions n'ont pour seul dessein que de tester vos réactions en cas de conflit.
Un commercial qui s'emporte rapidement face aux plaintes de son client ne donne pas une bonne image de la société qu'il représente ! Restez donc maître de vous-même et n'hésitez pas à recourir à un certain humour, en particulier face aux questions trop personnelles !
Si le tout ressemble un peu à une injonction paradoxale (rien de tel en effet pour se crisper que d'entendre "sois naturel"!), l'entraînement, avec des amis ou des professionnels tels que des coachs certifiés, ne manquera pas de parvenir à de bons résultats. Il est également très instructif de se filmer lors de ces préparations. Cela permet, en visionnant son image, d'intégrer son propre savoir être et de pouvoir ainsi plus facilement le modifier. C'est de cette manière que l'on parvient à être "habité" par ce que l'on dit, force suprême pour intéresser et convaincre son auditoire.
Nous arrivons ici, à l'étape de la congruence. Il s'agit d'utiliser un certain sens de la psychologie pour analyser son interlocuteur. Qu'il s'agisse du D.R.H. de l'entreprise ou du consultant d'un Cabinet de recrutement, prenez le temps, tout en restant présent dans l'interaction, d'observer son propre savoir être. La communication non verbale sera alors très utile. Ses gestes, son ton de voix, son débit, ses expressions, sa posture et le langage qu'il utilise seront autant d'indications qui vous permettront de vous mettre en congruence avec lui. Il ne s'agit pas, bien entendu, de singer votre interlocuteur mais de comprendre son "mode opératoire" afin d'atteindre une forme de synergie entre le candidat que vous êtes et celui qui décidera ou non de vous recruter. La congruence, c'est être en adéquation avec l'autre, sur "la même longueur d'ondes". Cette forme d'harmonie passe autant par la communication verbale que non verbale. En un mot, et de manière subtile, parler le langage du recruteur.
Une fine analyse de son savoir être vous permettra d'anticiper et de composer, ce qui ne manquera pas de vous offrir une certaine maîtrise de la situation, ce dont le recruteur ne doit bien entendu pas s'apercevoir. Celui-ci doit vous quitter avec le sentiment d'avoir totalement mené et maîtrisé l'entretien. Enfin l'excellence est de parvenir à le faire parler, idéalement de lui. C'est une manière de le faire exister et donc de le narcissiser. Il aura le sentiment que vous êtes capable d'une véritable écoute, il pourrait aller jusqu'à ressentir de la sympathie pour votre personne. Attention, une fois de plus, le tact et la justesse sont de rigueur dans cet exercice psychologique. Si la manière de procéder est grossière, vous ne manquerez pas d'irriter votre interlocuteur qui aura bien saisi votre intention. La possibilité d'un deuxième entretien ne sera plus alors qu'un vieux rêve que vous caressiez secrètement en vous rendant au premier.
L'avant dernier point concerne votre professionnalisme. C'est la mise en avant de vos compétences. Vous êtes seul à avoir les cartes en main pour cette partie. Soyez précis, clair et concis. Donner des chiffres, des dates, des résultats, parlez de votre méthode si elle revêt une particularité. Soyez technique et passionné, vous aimez votre métier et vous le maîtrisez avec un grand professionnalisme, tel est le message que vous devez faire passer. Si votre secteur d'activité est en perpétuelle évolution, ne manquez pas de vous tenir au courant des dernières techniques.
Enfin, le dernier point, c'est votre petit plus. C'est ce qui vous permettra de vous démarquer. Faites appel ici à votre créativité. Vous pouvez à titre d'exemple remplacer certains mots du jargon habituel de votre secteur par des termes plus percutants. Il faut savoir étonner car l'étonnement suscite l'intérêt, mais une fois de plus, tout est question de mesure et de justesse car l'excès suscite aussi l'agacement.
Pour terminer, un petit "tuyau" issu de la systémique, si vous avez la fâcheuse habitude de vous laisser envahir par un stress important lors de ce type d'entretien, prenez chaque jour, durant la semaine qui précède le dit "évènement", quelques minutes pour vous demander ce qui pourrait arriver de pire lors de cet entretien. A chaque réponse que vous obtenez, demandez-vous ce qui pourrait arriver de pire encore à cette réponse ; continuez le processus jusqu'à son paroxysme. Un très bon exercice pour désacraliser le moment dont la source d'angoisse n'est rien d'autre que l'enjeu qu'il représente pour le candidat.
Isabelle Buot-Bouttier, Coach diplômée de l'Université Paris VIII.
http://mediabistro.com/articles/cache/a9430.asp
Louis-serge Real del Sarte, a French finance blogger, tipped us off to the following list of real experiences of job interviews gone bad, from L'Internaute magazine. Here's his post, translated from the French. Needless to say, it's a list of what NOT to do when trying to get a job: From what are reported as recruiters' actual experiences of things that happened during job interviews:
RELATED FORUM: Share your thoughts and see what other readers are saying about this article here! |
> Have a comment? Send a letter to the editor. > Read more in our archives |
Commentaires