Facebook ferme la page « Boycott BP »
Facebook et British Petroleum censurent. Le groupe « Boycott BP » créé sur le réseau social, a été fermé. 800 000 fans se redirigent vers une autre page.
Crédit Photo : TF1/LCI /
Louis-Serge Real del Sarte
Directeur Europe chez GLOBAL EQUITIES
Lundi, la BNP Paribas publiait des profits importants, qui vont lui permettre, et certains grincent déjà des dents, de verser près d'un milliard de bonus à ses salariés.
- le 17/08/2009 - 11h11
Mis à jour le 17/08/2009 - 11h20
L'entreprise sous-estime sa puissance
Naissance d'une solution ergonomique
Un siècle de lumière pour traverser plusieurs Galaxies,
La mystérieuse comète termine sa course
Structure cristallogène avant l'impact
le pôle des industries de pointe comme symbole
Premières mutations dans la vallée du sillicium
La communication prend acte
chrysalide de la comète brute
Point d'ancrage au pays de l'eau
Choix de transmission du rayonnement vitaminé
Explosion communautaire de la génération Y
Survie du facteur humain en jeu
L'entreprise solutionne son réseau intranet
article non sponsorisé par le leader européen
L' Airbus A-310
de Yemenia Airways
avec 158 français à bord,
dont 147 passagers et 11 membres d'équipage
s'est écrasé en mer cette nuit aux Comores à
seulement 7km de la côte ,
soit cinq minutes avant d'atterrir,
Selon la compagnie aérienne yéménite,
l'avion avait amorcé sa descente.
. Cet Airbus a des commandes à cable, d'ancienne génération comparé aux nouveaux appareils. Une cellule de crise a été ouverte. Le numéro de l'appareil est IY749.
Prié de dire s'il avait des informations sur d'éventuels survivants, un responsable de la compagnie a répondu: "Pas encore".
L'Airbus effectuait la liaison entre Sanaa, la capitale du Yémen, et Moroni, capitale de l'archipel des Comores.
Selon une porte-parole d'Aéroports de Paris, un appareil de Yemenia Airways a quitté Roissy-Charles de Gaulle lundi à 10h00 (08h00 GMT) pour Sanaa, la capitale du Yémen.
L'avion a atterri à Sanaa et devait ensuite poursuivre son voyage vers Moroni et "depuis on n'a plus trace de cet avion", a dit la porte-parole. "L'avion s'est écrasé en mer dans l'océan indien dans une zone indéterminée et nous ne savons pas encore où. Nous ne savons pas s'il y a des survivants", a déclaré le vice-président comorien Idi Nadhoim, qui se trouvait à l'aéroport de Moroni.
Il a ajouté que l'accident s'était produit aux premières heures de la journée de mardi mais n'a pu fournir aucun autre détail, notamment sur le lieu du sinistre.
Selon Ibrahim Kassim, responsable de l'organisme régional de sécurité aérienne ASECNA, l'appareil s'est probablement écrasé à environ cinq ou 10 km de la côte. Des navires civils et militaires ont été mobilisés pour entamer les recherches.
"Nous pensons que l'accident s'est produit au moment de son approche. La météo n'est pas vraiment favorable. La mer est très forte", a-t-il ajouté.
Un employé de l'hôpital de Mitsamiuomi, sur La Grande Comore, a été rappelé d'urgence au travail. "Ils m'ont dit qu'un avion s'était écrasé", a-t-il déclaré à Reuters.
Le ministre comorien de la Défense Hamid Bourhane a déclaré à Reuters que l'armée avait envoyé des vedettes rapides dans une zone située entre le village de Ntsaoueni et l'aéroport de Moroni. "Pour l'instant, nous ignorons s'il y a des survivants", a-t-il ajouté.
Selon un responsable des Nations unies présent à l'aéroport, la tour de contrôle a été informée de l'atterrissage prochain de l'appareil, puis a perdu tout contact
avec lui.
Source BFM TV, Reuters...
Ce
la s'est passé le 3 juin dernier.
Les forces de l'ordre italiennes ont saisi
plus de
134 milliards de dollars
(96 milliards d'euros),
que tentaient de faire passer en Suisse deux Japonais.
Les deux hommes,
âgés d'une cinquantaine d'années,
voyageaient en train et ont été contrôlés à Chiasso,
poste-frontière entre l'Italie et la Suisse.
Selon un communiqué de la Douane italienne,
ils affirmaient alors n'avoir rien à déclarer
mais les agents ont tout de même
fouillé les bagages des deux compères.
Jackpot pour les douaniers :
cachés dans le faux-fond d'une valise,
ils découvrent alors 249 bons du Trésor américain
et 10 "bons Kennedy".
Le montant de cette prise est exceptionnel.
Chaque bon du Trésor vaut 500 millions de dollars
et un bon Kennedy représente
pas moins d'un milliard de billets verts.
Selon la douane italienne,
une enquête est actuellement en cours
pour valider l'authenticité de ces documents
et déterminer leur provenance.
Les deux Japonais risquent de payer cher leur "voyage"
puisque la sanction administrative italienne
pourrait atteindre au minimum 38 millions d'euros.
(nouvelobs.com)
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