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Publié le 09 Juillet 2008 sur Easybourse | ||||
http://www.stoptrichet.com
Like Marc Touati, Say " NO ! "
to the ECB’s intent to increase rates
as mentioned by Jean Claude Trichet
and programmed for the 3rd of July 2008
5 reasons among many otherso say Stop the dogmatism of Jean-Claude Trichet: |
Extrait de l'EXPRESS.fr : La rumeur lui était parvenue jusque dans les allées de Roland Garros où il traînait comme une âme en peine. Et le Tout-Paris s'interrogeait: qui, de Gaël Monfils, assommé de coups par le Suisse Roger Fédérer, ou de Patrick Poivre d'Arvor, assis dans les travées, mordrait le premier la poussière?
Voilà des semaines, en effet, que le sort du journaliste vedette de TF1 semble scellé. Cruelle ironie de l'histoire pour celui qui, depuis des années, ménage ses effets, en expliquant qu'il a depuis longtemps secrètement programmé sa sortie de TF1. Et que lui seul décidera de la date et de l'heure à laquelle il tirera sa révérence.
Or, le couperet est tombé sans crier gare. Balayé tel un fétu de paille, le sorcier du 20 heures, que l'on disait indéboulonnable, est mis à l'index, remplacé dès la rentrée de septembre par la journaliste de Canal+ et de RTL Laurence Ferrari - comme L'Express l'évoquait dès jeudi dernier.
C'est ce lundi que PPDA devrait être convoqué par le PDG de la chaîne, Nonce Paolini, pour s'entendre confirmer la sentence. Si la surprise a été totale pour une majorité des salariés de TF1, elle n'a guère surpris les plus avisés. Voilà des mois que le nouveau patron de La Une martèle en privé le même credo: tourner la page, en finir avec l'ère Etienne Mougeotte, du nom de l'ancien grand manitou des programmes, évincé à l'été 2007.
Un à un, les Mohicans de TF1 ont été priés de quitter l'entreprise: Patrick Le Lay et Etienne Mougeotte, d'abord, Charles Villeneuve et Robert Namias, le directeur de l'information, ensuite. Jusqu'à PPDA aujourd'hui, un journaliste que Claire Chazal devrait rapidement rejoindre sur le banc de touche, frappée à son tour par la disgrâce.
C'est dans le secret du bureau de Nicolas Sarkozy, à l'Elysée, que la refonte de l'information de TF1 s'est décidée, en liaison directe avec celui qui apparaît, au fil des mois, comme le grand inspirateur de la pensée élyséenne en matière de réforme audiovisuelle, l'industriel et propriétaire de cette chaîne, Martin Bouygues.
Devenir de France Télévisions, suppression de la pub sur les chaînes publiques, instauration d'une seconde coupure publicitaire dans les films et téléfilms, mises au rancard de Robert Namias et de PPDA... il n'est pas un sujet qui n'ait fait l'objet, ces derniers mois, d'intenses discussions entre les deux hommes, amis de longue date. Et à l'évidence, la stature de Patrick Poivre d'Arvor, comme les audiences records du journal qu'il présente depuis maintenant vingt ans, n'ont en rien freiné la détermination des deux hommes, décidés à décapiter celui que le chef de l'Etat, en particulier, avait dans sa ligne de mire. Et cela pour deux raisons.
La première relève de l'anecdote. Nicolas Sarkozy estime, depuis plusieurs mois, déjà, qu'émoussé, le sénateur du PAF a fait son temps. De plus, l'irrévérence et le ton persifleur de "Poivre" insupportait le chef de l'Etat. C'est pour ces raisons qu'il avait d'ailleurs tenu à ce que soient profondément renouvelés la liste, comme le profil, des journalistes invités à l'interroger, lors de sa dernière prestation télévisée. Place à la nouvelle vague...
L'autre raison, qui a emporté la décision, est autrement plus importante. Nicolas Sarkozy, comme Martin Bouygues, n'ont pas apprécié, le mot est faible, l'hostilité affichée de PPDA lorsqu'il s'est agi de remplacer, au printemps 2007, Robert Namias par l'ancien patron du Figaro, Nicolas Beytout.
L'opposition de Patrick Poivre d'Arvor, qui s'était démené comme un beau diable, à l'époque, allant jusqu'à mettre sa démission dans la balance, avait alors obligé le patron de Bouygues à rempocher son projet, à la colère de Nicolas Sarkozy. L'incident n'a jamais été oublié, le camouflet jamais pardonné.
Et, alors que Robert Namias s'apprête à abandonner ses fonctions à la tête de l'information de TF1 et que bruissent de multiples rumeurs (dont celle d'une
éventuelle arrivée de l'actuel patron de LCI, Jean-Claude Dassier), c'est à l'Elysée que le profil de son successeur se dessine. Là aussi, Nicolas Sarkozy et Martin Bouygues vont s'employer à
accorder leurs violons.
Source : http://www.lexpress.fr/actualite/media-people/media/nicolas-sarkozy-a-la-manoeuvre_509310.html
Gilet et triangle obligatoires |
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Le Comité interministériel de la sécurité routière a décidé qu'à partir du 1 juillet 2008 le gilet ainsi que le triangle devront être dans chaque voiture. Pour en savoir plus, article judicieux en source : http://orveauetextras.over-blog.com/article-17418662.html |
Un mort et Cinq blessés
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DEUX EXPLOSIFS DANS UNE BOÎTE EN BOIS
D'après Me Pierre Ponos, un avocat de l'immeuble interrogé sur France Info, et qui dit avoir prévenu la police lorsqu'il a entendu la déflagration, "il s'agit bien de deux colis piégés, à
l'attention de [Me] Gouet-Janselme et Olivier Brane". L'explosion se serait produite à 12 h 50 au moment de l'ouverture du colis par l'assistante de
Me Brane. Deux explosifs était apparemment dissimulés dans une cassette en bois apportée par un coursier, a indiqué le procureur de la République, Jean-Claude Marin. "Nous
relevons les prises d'image qui auraient pu être prises à l'arrivée du coursier", a-t-il ajouté.
L'avocate visée avec son collègue ignore, selon ses proches, le motif de cet envoi car "elle ne s'occupe pas d'affaires sensibles, mais plutôt de conflits d'assurances,
d'affaires de divorce et immobilières".
PÉRIMÈTRE DE SÉCURITÉ
Sur place, plusieurs riverains, contactés par téléphone, déclarent n'avoir entendu "aucune explosion". Un périmètre de sécurité a été mis en place, avec l'assistance de
militaires, empêchant les allées et venues autour du numéro 52, boulevard Malesherbes. La police a demandé aux occupants des immeubles voisins de ne pas en sortir et de s'éloigner des
fenêtres.
Le préfet de police, Michel Gaudin, est sur les lieux, a précisé la préfecture de police, ainsi que le directeur de la police judiciaire. La section antiterroriste du parquet de Paris a été saisie et l'enquête confiée à la brigade criminelle, assistée par la police scientifique. Le directeur de cabinet de la ministre de l'intérieur, Michèle Alliot-Marie, est également sur les lieux et celle-ci a écourté un déplacement à Bruxelles à la suite de l'explosion.
Sur le même palier que le cabinet de Me Gouet-Jenselme, au 4e étage, se trouve également la Fondation pour la mémoire de la Shoah. Par ailleurs, au 1er étage de l'immeuble où s'est produite l'explosion, se trouve le cabinet d'avocats Arnaud Claude et Associés, fondé par le président Nicolas Sarkozy.
L'EXPRESS évoque
la face cachée de Rachida dati
Rachida fait de la peine. L'idylle aurait changé de main, c'est un véritable unproglio. Celle qui envoyait plusieurs textos par jour à la première
Dame de France, l'accompagnait par le bras aux funérailles de son premier époux et lui doit en partie sa nomination ne réponds plus aux appels de Cécilia depuis le divorce présidentielle. La
Ministre a certainement dû choisir entre l'amitiée et sa carrière : l'ombre ou la lumière.
Voici ce que le nouvel obs et L'Express nous révèlent :
La rumeur a enflé pendant l'été. Elle court désormais tout Paris: la garde des Sceaux aurait usurpé ses diplômes. L'affaire est devenue tellement sensible que même le ministère de
l'Intérieur a fini par s'en émouvoir. Jusqu'à présent, Rachida Dati n'a pas voulu se justifier face à ces «ragots». L'Express a enquêté sur la véracité de ses diplômes. Un seul de ses titres
reste sujet à caution.
En 1985, la jeune femme s'inscrit à l'université Dijon-Bourgogne, en Deug de sciences économiques. Trois ans plus tard, en juin 1988, elle est diplômée. L'un de ses profs de l'époque, Jean-Jacques Friboulet, devenu économiste de renom, enseigne à l'université suisse de Fribourg. «Je ne l'ai jamais revue, mais je l'ai immédiatement reconnue lors de sa nomination, confie-t-il à L'Express. C'était un cas d'école. A cette époque, dans mon cours sur la répartition des revenus, les enfants de la deuxième génération étaient très rares, surtout les filles. J'avais remarqué sur sa fiche qu'elle travaillait de nuit dans une clinique, mais elle ne se plaignait jamais. Elle était animée d'un vrai fighting spirit.» L'esprit de combat...
A l'automne de 1988, l'étudiante s'inscrit à l'université Paris II-Panthéon-Assas, à deux pas du Luxembourg. La faculté confirme qu'elle en est sortie, en 1991, avec en poche une
maîtrise de sciences économiques, option «gestion des entreprises». Peu après, Rachida Dati bénéficie, on l'a vu, d'une aide de Matra pour s'inscrire au prestigieux Institut supérieur des
affaires (ISA), qui dépend du groupe HEC. Elle se présentera dans toutes ses biographies comme une «ancienne élève» de l'ISA. Ce qui est exact. Elle n'a, en revanche, jamais obtenu le diplôme
final. Selon l'école, il lui manquait deux «électifs», des matières à option indispensables pour obtenir le titre. La ministre reconnaît aujourd'hui que son diplôme n'a pas été validé, mais
affirme avoir obtenu tous ses modules. Elle évoque un «différend» avec HEC. Toujours est-il qu'en 1995 Simone Veil et Marceau Long l'incitent à opter pour la magistrature. Rachida Dati doit donc
se remettre aux études et obtenir au minimum une maîtrise de droit, indispensable pour devenir juge. Elle opte pour le droit public général et s'inscrit à Paris I-Panthéon-Sorbonne. Elle
bénéficie alors d'un dispositif en vigueur à l'époque, la validation des acquis professionnels (VAP) - l'administration retient ses douze années d'expérience dans le monde du travail - ce qui lui
épargne de passer au préalable sa licence de droit. Selon Paris I, elle obtient sa maîtrise en 1996.
http://www.lexpress.fr/info/france/dossier/dati/dossier.asp?ida=460760
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