Guerre contre l'Iran: Une armada américaine
accompagnée de l’USS John C. Stennis et
de forces aéronavales alliées sont en route vers le golfe Persique
Le Koweït est-il en état d'alerte
devant la menace de guerre dans le golfe Persique?
Le Koweït a déployé son plan d'urgence de guerre parce qu'une armada de force navale américaine se dirige vers le golfe Persique, selon un reportage du « Middle
East Times. »
Press TV (Iran)
Mardi le 12 août 2008
Le reportage fait suite à la déclaration de « DEBKAfiles » lundi à l'effet que [les porte-avions] USS Theodore Roosevelt, USS Ronald Reagan, et USS Iwo Jima sont en
route vers le golfe Persique pour accroître les forces d'attaque US dans la région.
Les forces navales américaines sont accompagnées par un groupe tactique de la Marine royale britannique qui compte un porte-avions de même que par un sous-marin
nucléaire français.
Ce déploiement semble être le plus imposant rassemblement de force navale des États-Unis et de ses alliés dans la région, depuis la guerre du Golfe de 1991.
Cette manœuvre survient environ une semaine après que se soit terminée l'opération Brimstone, où plus d'une douzaine de navires de guerre américains, britanniques et
français ont réalisé des exercices militaires dans l'océan Atlantique en préparation à une éventuelle confrontation avec l'Iran.
Situé sur la côte du golfe Persique, le Koweït a placé ses militaires en état «d'alerte de guerre » afin d'éviter d'être pris en sandwich dans un éventuel conflit
dans la région.
« La dernière fois, le Koweït a été pris par surprise lorsque les troupes iraquiennes ont envahi le petit émirat et qu'elles ont mis en déroute l'armée koweïtienne
en quelques heures, » selon ce qu'à déclaré un ancien diplomate américain au Koweït au « Middle East Times. »
Washington et ses alliés accusent l'Iran, un [pays] signataire du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), de poursuivre un programme nucléaire
militaire et ils ont menacé de lancer des frappes militaires contre l'Iran si le pays devait poursuivre son programme d'enrichissement de l'uranium.
L'organisme de surveillance nucléaire des Nations Unies, l'Agence internationale de l'énergie atomique, a confirmé que le programme d'enrichissement de l'uranium de
l'Iran ne dépasse pas 3 % et qu'il est donc dans les limites du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP).
L'accroissement des forces militaires dans le golfe Persique est au centre des spéculations qui font suite aux pressions exercées par Israël visant à pousser
l'administration Bush à lancer une attaque contre l'Iran avant que le Président George W. Bush ne quitté ses fonctions en janvier 2009.
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Les USA ont achevé d’importantes manœuvres militaires
dans le Golfe arabo-persique à brève distance des eaux territoriales iraniennes. Ce déploiement naval était destiné à "envoyer un avertissement à Téhéran" suite à l'adoption de la résolution 1747 du Conseil de
sécurité des Nations Unies, qui impose de lourdes sanctions économiques à l'Iran en rétorsion pour son refus de se conformer aux demandes des USA concernant son programme
d'enrichissement d’uranium.
Les simulacres de guerre US au large du littoral iranien ont vu la
participation de deux porte-avions, le groupe aéronaval de l'USS John Stennis et l'USS Eisenhower ayant à leur bord 10.000 hommes et de plus de 100 avions de guerre. Le groupement de l’USS John C. Stennis, qui fait
partie de la 5ème Flotte US, est entré dans le Golfe arabo-persique le 27 mars, escorté en le croiseur lance-missiles USS Antietam (CG. 54) (voir http://www.navy.mil/).
On dit que le groupe aéronaval de l’USS John
C. Stennis (JCSSG) et son escadre aérienne n°9, ont mené « un exercice en duo » avec le groupe aéronaval de l'USS Dwight D. Eisenhower (IKE
CSG).
« C’est la première fois que les groupes
aéronavals du Stennis et de l'Eisenhower ont opéré ensemble dans un exercice commun dans le cadre du déploiement de la 5ème Flotte. Cet exercice démontre l'importance des
capacités des deux groupes aéronavals à planifier et à mener des opérations en tandem dans le cadre de l'engagement de la Marine de guerre à maintenir la sécurité et la
stabilité maritimes dans la région. »
Les simulacres de guerre ont été menés à un moment de tension et de
confrontation diplomatiques suite à l'arrestation par l'Iran de 15 membres de la Marine de guerre britannique, censés avoir patrouillé à l'intérieur des eaux territoriales
iraniennes.
Le gouvernement britannique, soutenu par la désinformation de médias, a utilisé cet incident en vue de créer une situation de confrontation avec l'Iran.
Ces simulacres de guerre sont le point culminant d’un processus enclenché dès 2003. Lire à ce
sujet Nom
de code TIRANNT : les plans de guerre US contre l’Iran.
Selon la Marine US, ce dernier round de manœuvres militaires conduites fin mars était d’une envergure
beaucoup plus grande que les déploiements précédents. Selon la presse, ces manœuvres auraient constitué le plus grand déploiement de puissance navale des USA depuis
l'invasion de l'Irak en mars 2003.
Presque simultanément, l'Iran conduisait également des exercices
navals à grande échelle dans le Golfe arabo-persique, si bien qu’on peut considérer que les USA et l'Iran sont sur un pied de
guerre.
La presse russe, sur la foi de sources du
renseignement, a sonné l’alarme. Selon une dépêche de l’agence RIA-Novosti, citée par la presse européenne et israélienne (Jerusalem Post), les USA projettent de lancer
des attaques aériennes sur l'Iran sous le nom de code « Opération morsure », le Vendredi saint 6 avril, en ciblant des sites militaires et civils, y compris le système de
défense aérienne de l'Iran.
« Les services russes de renseignement militaire
rapportent tourbillon d'activité des forces armées US près des frontières de l'Iran », a déclaré mardi une source sécuritaire de haut rang.
« Les derniers rapports des renseignements militaires
font état d’une intensification des préparatifs militaires US en vue d’opérations aériennes et terrestres contre l’Iran », a déclaré le responsable, ajoutant que le
Pentagone n'a encore probablement pas pris une décision finale sur le moment de déclenchement de l’attaque. Il a dit que le Pentagone recherche une manière de mener une
frappe contre l'Iran « qui permettrait aux Étatsuniens de mettre le pays à genoux aux moindres coûts. » Il a également dit
que la présence navale US dans le Golfe arabo-persique a atteint, pour la première fois depuis quatre ans, le niveau qu’elle avait peu avant l'invasion de l'Irak en mars
2003.
Le général Leonid Ivashov, vice-président de
l'Académie des sciences géopolitiques, a dit la semaine dernière que le Pentagone projette de se livrer à une « attaque aérienne massive contre l'infrastructure militaire
de l'Iran dans un proche avenir ». S’il faut tenir compte du rapport russe, rien cependant ne permet de le corroborer et
d'indiquer exactement quand une attaque aérienne contre l’Iran pourrait avoir lieu. En outre, il y a plusieurs facteurs importants qui suggèrent, du point de vue de l'organisation militaire, qu'à moins d’avoir affaire à
un cas de pure folie politique, le Pentagone n’est pas prêt à lancer une attaque contre l'Iran.
Nominations à des postes clé militaires
Plusieurs nominations à des postes clé militaires ont
eu lieu au cours du mois de mars. Fait important, l’amiral William J. Fallon, a été nommé le 16 mars commandant du Commandement central US (CENTCOM) par le secrétaire à la
Défense Robert M. Gates. Il est peu probable que l'amiral Fallon activerait une opération militaire contre l'Iran dans les semaines suivant sa nomination comme commandant
du CENTCOM.
L’Amiral Fallon
En attendant, une autre nomination
importante a eu lieu, qui a à voir directement avec les préparatifs de guerre contre l'Iran. L'amiral Timothy J. Keating,
Commandant de l’US NORTHCOM a été nommé le 26 mars à la tête de l’US Pacific Command, dont relèvent à la fois la 5ème et la 7ème Flottes. Le Commandement du Pacifique de
la 7ème flotte est le plus grand commandement de combat US. Keating, qui succède à l'amiral Fallon est également un supporter inconditionnel de la « guerre contre le
terrorisme ». Le Commandement du Pacifique jouerait un rôle clé dans le contexte d'une opération militaire dirigée contre
l'Iran. ( http://www.pacom.mil/about/pacom.shtml ).
Il est important de rappeler que l’amiral
Keating a été également impliqué dans l'attaque de 2003 contre l'Irak en tant que commandant du Commandement central des forces navales US et de la 5ème
Flotte.
Si ces nominations à des postes clé indiquent une
consolidation de l’agenda militaire néoconservateur au Moyen-Orient, elles suggèrent aussi que les militaires US le déclencheraient pas une nouvelle phase dans la guerre
du Moyen-Orient avant d’avoir consolidé la position de ces nouveaux commandants, notamment au niveau du Commandement central US (CENTCOM), qui est l'unité de commandement
opérationnel clé chargée du théâtre de guerre du Moyen-Orient.
L’Amiral Fallon est parfaitement d’accord avec les
plans de guerre de l'administration de Bush vis-à-vis de l'Iran. Il remplace le général John P. Abizaid, qui a été poussé à
la retraite, suite à d’apparents désaccords avec le successeur de Rumsfeld, le secrétaire à la Défense Robert M. Gates. Tandis qu'Abizaid reconnaissait les échecs et les
faiblesses des militaires US en Irak, l’Amiral Fallon est étroitement aligné sur le vice-président Dick Cheney. Il est également fermement dévoué à « la guerre mondiale
contre le terrorisme » (GWOT). C’est le CENTCOM qui coordonnerait une attaque contre l'Iran depuis le théâtre de guerre du Moyen-Orient.
En outre, la nomination d'un amiral est indicative
d'un changement dans les priorités du CENTCOM sur le théâtre de guerre. L’accent est mis sur une « échéance proche » concernant l’Iran plutôt que l’Irak, ce qui requiert
une coordination des opérations navales et aériennes dans le Golfe arabo-persique.
La puissance navale US dans la région
Actuellement il y a deux groupes aéronavals de combat
dans la région du Golfe arabo-persique, l'Eisenhower et le Stennis.
En comparaison, le déploiement de la puissance navale
avant le Blitzkrieg de mars 2003 contre l'Irak était sur une échelle sensiblement plus grande.
Dans les premiers mois de 2003, il y avait cinq porte-avions US à
portée de tir de l'Irak plus un porte-avions britannique. Dans la campagne de 2003, trois groupes aéronavals étaient présents
dans le Golfe (Lincoln, Constellation et Kitty Hawk) et deux autres groupes aéronavals (Roosevelt et Truman) étaient engagés dans la coordination des sorties aériennes de
bombardement depuis la Méditerranée.
Le porte-avions à propulsion nucléaire USS Nimitz et le groupe
aéronaval qui l’accompagne est actuellement en route vers le Golfe, ce qui portera le nombre de porte-avions à trois.
Il est peu probable que l'action militaire
débuterait avant qu'un troisième porte-avions soit positionné sur le théâtre de guerre. (Des déclarations officielles ont cependant indiqué que le Nimitz
prendrait la place de l'USS Eisenhower et que seuls deux groupes aéronavals seraient présents dans la région du Golfe et de la Mer d’Arabie.) En outre, les faiblesses US sur le théâtre de guerre de l'Irak, les capacités de l'Iran à exercer des représailles et infliger
des dommages significatifs aux forces US à l'intérieur de l'Irak, aussi bien que l'opposition montante à la présidence US, ont une incidence directe sur le
timing d'une opération militaire dirigée contre l'Iran.
L'Iran est politiquement isolé
L'Iran est politiquement isolé. L'unilatéralisme règne dans les couloirs de l'ONU comme sur le théâtre de guerre du Moyen-Orient.
La résolution du Conseil de sécurité
commanditée par les USA a reçu un appui unanime. Des amendements proposés au projet de résolution ont été éliminés, suite à des pressions US. Le texte de la
résolution a été adopté à l'unanimité.
Ni la Russie ni la Chine, qui ont des
accords militaires étendus de coopération avec l'Iran, n'ont exercé leur droit de veto, ni ne se sont
abstenues.
Ce "consensus" du Conseil de sécurité de
l'ONU a été atteint par des manœuvres décisives de la diplomatie de l'ombre de Washington, qui a pu ainsi rallier les cinq membres permanents plus l'Allemagne,
qui a participé à la formulation du projet de résolution dans des consultations séparées.
La résolution de l'ONU a totalement isolé
l'Iran : La Chine et la Russie ont été entraînées dans une alliance furtive avec les USA.
Ce qui est crucial dans la résolution du
Conseil de sécurité c’est que ni la Chine ni la Russie n'interviendront aux côtés de l'Iran, si celui-ci est attaqué. D'ailleurs, alors que la Russie et la Chine
sont des partenaires diplomatiques des USA dans le régime de sanctions économiques décrété par l’ONU, elles font en même temps l'objet de menaces militaires des
USA comme confirmé par l’Opération Bouclier vigilant 07. Il s’agit de simulacres de guerre menés de septembre à
décembre 2006, qui visaient explicitement non seulement Nemesis (le Corée du nord) et Irmingham (l’Iran) mais
également Ruebek (la Russie) et Churia (la Chine).
On aurait pu s’attendre à ce que des «
deals » séparés aient été conclus respectivement avec la Chine et la Russie, où certains engagements auraient été
pris par Washington au cours de discussions bilatérales. Pékin et Moscou, qui sont partenaires dans l'Organisation de coopération de Shangaï (SCO) sont dans une
situation manifestement ambiguë : d’une part, ils ferment les yeux sur les menaces militaires US, d’autre part ils apportent leur aide aux militaires iraniens pour l’établissement de leurs systèmes de défense aérienne et terrestre, dans l'éventualité d’une attaques des USA-OTAN-Israël contre l'Iran, qui a un statut d'observateur dans l'Organisation de
coopération de Shangaï (SCO).
L'Iran est le troisième plus grand
importateur des systèmes d'armements russes après l'Inde et la Chine. Au cours des cinq dernières années, la Russie a soutenu la technologie de missiles
balistiques de l'Iran, après les négociations menées en 2001 sous la présidence de Mohamed Khatami.
Coïncidence ironique, au moment même de la
décision du Conseil de sécurité de l'ONU en mars, la presse russe a confirmé que l'Organisation de coopération de Shangaï (SCO) envisage éventuellement un
élargissement, qui pourrait consister à accorder la pleine adhésion à la SCO aux pays (comme l’Iran) qui y ont actuellement le statut
d’observateurs.
En attendant, le Congrès US est en guerre
avec le Président concernant la stratégie de guerre de l'Amérique en Irak, mais pas un mot n'est murmuré sur la
guerre imminente contre l’Iran, comme si cela n’avait aucune pertinence.
Les menaces sont réelles, un incident pourrait déclencher
une guerre.
Les criminels de guerre haut placés ont désespérément besoin de cette guerre pour rester au pouvoir.
Le congrès US n’est absolument pas susceptible de renverser la décision de faire la guerre à l’Iran, malgré le fait que ceci mènerait à une catastrophe mondiale,
une escalade de la guerre, avec l’imminence d’un État policier en Amérique pour soutenir la militarisation des institutions civiles.
Le Général Cartwright
Le rôle du Commandement stratégique US
(USSTRATCOM)
Le néocons dans l'administration de Bush
contrôlent les nominations aux postes clés militaires, en particulier au Commandement central (USCENTCOM), au Commandement stratégique (USSTRATCOM) et à
l’État-major conjoint.
Des nominations ont récemment eu lieu. Le commandant
nouvellement désigné de l'USCENTCOM, l’Amiral Fallon, jouera un rôle clé en supervisant l'opération militaire sur le théâtre de guerre du
Moyen-Orient.
L’USSTRATCOM, dirigé par le Général James E. Cartwright, dont le QG est à la base aérienne
d'Offutt au Nebraska, jouerait un rôle central dans les prises de décision et la coordination en cas de guerre contre l'Iran. L'administration a demandé à
l’USSTRATCOM d’élaborer des plans centralisés pour une guerre contre l'Iran. Le CENTCOM serait largement impliqué
en appliquant ces plans de guerre sur le théâtre de guerre du Moyen-Orient.
Il vaut la peine de rappeler qu’en 2004, le
vice-président Dick avait demandé à l’USSTRATCOM d’élaborer un plan d'urgence contre l'Iran, destiné à « être
utilisé en réponse à une autre attaque terroriste du type 11 Septembre sur les USA », sur la présomption que le
gouvernement de Téhéran serait derrière ce complot terroriste. Le plan d'urgence prévoyait une attaque aérienne de grande envergure contre l'Iran utilisant des
armes nucléaires conventionnelles et tactiques.
L’USSTRATCOM est décrit comme « un
intégrateur global chargé des missions de frappe mondiale sur toute la gamme. »
L’USSTRATCOM est chargé de la coordination des structures
de commandement appelée « C4ISR global » (Commandement, contrôle, communications, ordinateurs, renseignement, surveillance, et reconnaissance). « La
planification et l'exécution au jour le jour [ par STRATCOM ] pour les zones primaires de mission est faite par cinq Commandements conjoints de composants
fonctionnels (Joint Functional Component Commands : JFCC) et trois autres composants fonctionnels. »
L’USSTRATCOM : nous sommes prêts
Le commandement stratégique
(USSTRATCOM) est en train de subir d’importants changements organisationnels importants, qui ont une implication directe sur les plans de guerre contre l'Iran. Selon son commandant, le Général Cartwright, l’USSTRATCOM développe de « nouvelles organisations alignées selon leurs fonctions,
conçues pour améliorer notre vitesse et nos progrès opérationnels » (rapport à la Commission parlementaire
des Forces armées). « Nous sommes passés de la vieille triade
avec bombardiers, sous-marins et (missiles balistiques intercontinentaux) à un système plus intégré, qui offre au pays une gamme plus large d’activités
dissuasives qui peuvent rassurer nos alliés ».
Selon les déclarations de
Cartwright, les composants fonctionnels – renseignement/ surveillance/reconnaissance; guerre de réseau; opérations de réseau mondial; opérations
d'information; défense intégrée de missiles ; et armes de combat de destruction de masse - sont en pleines capacités opérationnelles ou s’en
approchent.
En outre, STRATCOM construit un
système d'organisation « qui peut être mis en commun dès le départ, et peut passer au type de configuration combiné ou allié... de sorte que nous
n’aurons pas à les construire dans un moment de crise. »
« Avoir une infrastructure équilibrée de défense étayée par le commandement et le contrôle, et le renseignement, la
surveillance et la reconnaissance est crucial pour la stratégie », a ajouté Cartwright (U.S. Strategic
Command Refines, Fields New Capabilities, par John J. Kruzel, American Forces Press Service, 9 mars 2007)
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Article original en anglais paru le 1er avril 2007
Traduit de l’anglais par Fausto Giudice, membre
de Tlaxcala, le réseau de traducteurs pour la diversité linguistique. Cette traduction est en Copyleft pour tout usage
non-commercial : elle est libre de reproduction, à condition d'en respecter l’intégrité et d’en mentionner sources et auteurs.
Michel Chossudovsky est l'auteur du best-seller
international The
Globalization of Poverty (titre français: "La mondialisation de la
pauvreté», éd. Écosociété) qui a été publié en 11 langues. Il est professeur d'économie à
l'Université d'Ottawa, Canada, et directeur du Center for Research on Globalization Global Research. Il collabore également à l'Encyclopaedia Britannica. Son dernier ouvrage est intitulé ``America`s War on
terrorism``, Global Research,
2005. Il est l'auteur de Guerre et mondialisation, La vérité derrière le 11 septembre.
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Michel Chossudovsky est un collaborateur régulier de
Mondialisation.ca. Articles de Michel Chossudovsky publiés par Mondialisation.ca
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